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Séduite Par Le Patron

 
Post #1


J'ai été embauchée dans cette entreprise il y a deux ans, quelques semaines après mon mariage avec Éric. Je m'appelle Bérengère, j'ai 25 ans, et je suis assistante de direction dans le pôle financier.
J'ai travaillé dans plusieurs grandes entreprises, des contrats à durée déterminée, qu'on offre aux femmes qui commencent dans vie active. Corvéable à merci, mal payée, sans compter les petits chefs frôleurs.
Au départ, j'hésitais à travailler dans une petite entreprise, mais le salaire était idéal pour mes besoins. Avec un mari musicien, souvent à la recherche de contrat, je devais assumer le poste de soutien de famille, et m'assurer que nous ne manquions de rien.
L'entretien d'embauche était pour le moins approfondi. La Responsable des Ressources Humaines était une femme exigeante. J'avais l'impression qu'elle me détestait! Qu'elle était jalouse de moi! J'ai eu plusieurs entrevues, elle m'a interrogée longuement, parfois seule, parfois accompagnée, j'ai dû prouver mes qualifications, renseigner mes antécédents, même mes opinions politiques.
Je comprends qu'une entreprise soit vigilante pour embaucher la proche collaboratrice d'un directeur financier, mais j'en avais marre, et je voulais laisser tomber, lorsqu'elle m'a annoncé que j'avais le poste.
Curieusement, je n'avais pas remarqué, avant d'être prise, que les directeurs étaient tous des hommes noirs, et que beaucoup de personnel féminin, de jolies jeunes femmes, étaient enceintes.
J'ai rencontré mon boss le premier matin de mon embauche. Antoine Kerr, Directeur Exécutif du Pôle Financier, un grand noir, poignée de main enveloppante, regard intense. Dire qu'il était beau est inutile. Même encore maintenant, je frissonne face à lui. Il m'a reçue dans son bureau, assis face à face, sans bureau ni table entre nous, nos genoux se touchaient presque.
Il m'a parlé longuement de mon rôle auprès de lui, les yeux dans les yeux, j'étais subjuguée par sa forte personnalité. Il a bien sûr souligné qu'il attendait beaucoup de moi, mon investissement, les longues heures, mon soutien, l'aider de toutes les manières possibles, une assistante c'est beaucoup plus qu'une secrétaire ... L'entreprise grandissait vite, j'aurais rapidement un retour sur investissement.
En disant cela, il frottait son pouce et son index en riant, me suggérant que mon salaire allait évoluer rapidement. J'avais déjà entendu cela dans mes postes précédents sans trop y croire, mais cette fois semblait la bonne.
J'avais des horaires de folie, arrivée avant l'heure, partie bien après l'heure. Je gérais tout, son emploi du temps, ses dossiers, jusqu'à son nettoyage à sec! Il était célibataire, et la liste de mes tâches quotidiennes s'allongeait sans cesse. Mon mari, Éric, n'était pas ravi, sa jeune épouse rentrait trop tard et trop fatiguée à son goût.
Tout n'est pas venu en même temps... Mais, progressivement, mes tâches sont devenues plus résolument hors du cadre de mon poste... Je travaillais pendant la pause du déjeuner pour finir moins tard. Je voulais faire plaisir à mon mari, et plaire à mon patron.
J'ai essayé de décliner certaines tâches, mais j'ai reçu les puissantes mains noires d'Antoine sur mes épaules, me demandant les yeux dans les yeux si je lui étais vraiment dévouée... Je me suis mordue la lèvre... Je voulais vraiment lui plaire. Je l'adorais. Je voulais lui être indispensable. Il n'avait ni femme ni petite amie pour s'occuper de lui.
Le moment que j'ai trouvé délicat, c'est quand il m'a clairement indiqué que ma tenue était trop austère. Dans son bureau, seuls à seuls, porte fermée pour plus de discrétion, il s'est approché de moi et m'a parlé à voix basse. Sur le ton de la confidence, il m'a dit que j'étais maintenant si proche de lui que je contribuais à définir sa marque.
Je savais que sa demande n'était pas légitime, mais l'allocation vestimentaire n'était pas négligeable ... Mes jupes ont raccourci, mes corsages se sont ouverts, j'ai troqué mes soutiens-gorge confortables contre de la lingerie plus flatteuse. J'ai grandi sur des talons plus hauts, mes pieds me faisaient mal en fin de la journée
Si Antoine était content de moi, j'étais heureuse... Je redoutais de le décevoir de quelconque manière.
La fête de Noël de l'entreprise est arrivée. L'alcool coulait à flots, les charrettes de petits fours se succédaient, le personnel, les partenaires, tout le monde s'amusait.
J'étais plus proche d'Antoine que de mon mari, et cela l'agaçait. Confusément, il sentait un rival en lui. Et bizarrement, sa jalousie flattait mon ego. Une partie de moi appréciait sa jalousie, et je taquinais subtilement mon mari en me tenant proche de mon patron. Plus proche que nécessaire, très proche, trop proche ...
Éric ne sait pas gérer un open bar, il s'est tassé dans un fauteuil, dans un coin de la pièce, ivre et somnolant. C'était peut-être sa façon de me punir de l'avoir négligé, en me faisant honte devant mes collègues.
Je suis restée proche d'Antoine, à la Escort Bahçeþehir rencontre de collègues, de partenaires, et même de nos rivaux. J'étais à ses côtés toute la soirée, indispensable, omniprésente, l'entourant de tout mon empressement ... En vérité, j'aimais juste être avec lui. Proche de lui. Avec lui, les longues heures au bureau passaient plus vite.
De nombreux invités l'ont félicité pour sa «cavalière» en ricanant, mais je m'en fichais, j'étais un peu pompette.
J'avais mal aux pieds ... Je m'accrochais au bras d'Antoine. Il a suggéré que nous montions au bureau pour changer mes chaussures, et mettre des talons plats à la place. J'étais un peu éméchée, mon corps était chaud... Je savais que mon patron appréciait mon corps. Je suis mince, mais j'ai des formes ... qui plaisent aux hommes. Je sais qu'Antoine aime mes fesses ... Je l'ai surpris en train de me regarder plusieurs fois.
Antoine m'a accompagné, dans les escaliers, une main sur la rampe, l'autre accrochée à son bras. Le bureau n'était pas éclairé, mais mon excellente connaissance des lieux, et le peu de luminosité qui entrait par les grandes baies vitrées me suffisaient. J'ai quitté mes talons et je me suis penchée pour sortir mes chaussures plates de dessous le bureau ...
C'est alors que j'ai senti ses grandes mains puissantes se poser sur mes hanches. J'ai sursauté, et je me suis redressée en protestant : « Monsieur Kerr!»
Mon cri n'a eu l'effet escompté. Il m'a poussée fermement en avant, me plaquant contre le bureau, son ventre dur contre mes fesses. Mes mains posée sur le dessus du bureau, me soutenant alors qu'il m'y tenait clouée d'une main sur mes reins. L'autre main farfouillait sous ma jupe, tâtait mon cul. J'étais horrifiée par son attitude cavalière et je protestais fermement, surprise par ce comportement déplacé et inattendu.
«Ferme ta gueule, bébé... Je t'avais expliqué, quand tu es arrivée ici, que tu devais être à mon service, tout le temps, et
faire tout ce que je voulais ... Tu as accepté le poste, et j'ai besoin de toi ... Maintenant!»
M'expliqua le mâle alpha en ébène, ponctuant sa diatribe d'une claque sur mon cul.
J'ai essayé de le raisonner : «Je suis une femme mariée, M. Kerr! Arrêtez ça tout de suite! Vous aller tout gâcher!» Je criais, mais la musique en bas était si forte qu'il n'y avait aucune chance que l'on m'entende crier.
«Putain, ce cul qu'elle a, cette salope!» siffla Antoine, claquant mes fesses si fort que mes yeux s'humidifiaient.
Je me sentais impuissante à l'arrêter, à l'empêcher. Je n'ai pas dit «non». Je ne l'ai pas combattu physiquement. Je ne voulais pas lui céder, mais je n'osais pas me rebeller contre mon patron. Mon salaire confortable, ma situation enviable, l'admiration que j'avais pour cet homme, même un petit béguin, dans d'autres circonstances ...
Ce n'était pas réellement une agression sexuelle. Inconsciemment, j'espérais cela. Sa grande main noire me maintenait épinglée sur le bureau, tandis qu'il troussait ma jupe autour de ma taille. Si j'avais voulu lui résister, je ne me serais pas hisser sur la pointe des pieds, en me cambrant pour lui tendre ma croupe.
Ses gifles rougissaient mes fesses rondes. Ses pieds entre les miens, écartant mes jambes. Je suis restée immobile et silencieuse, figée dans l'attente, tandis que le mâle supérieur dégrafait son pantalon de costume. Cependant, ma dégradation ne faisait que commencer ...
Fouillant dans sa poche, Antoine en sortit son smartphone. Activé sur enregistrement vidéo, il le positionna contre ma lampe de bureau pour filmer la prise de sa conquête. Lampe allumée, mon torse était baigné de lumière. Haletante, je sentais sa lourde chair chaude contre mes fesses. Je ne pouvais pas le voir, mais mon patron avait sorti son gros sexe d'ébène pour me ravager. Je frissonnais, m'attendant à ce qu'il soit géant, à cause de la sensation de cette monstruosité palpitant contre moi. Pour le moment, je ne voyais pas encore le monolithe noir pendu entre les jambes musclées de mon patron.
Il a réalisé que j'étais trop petite pour être pénétrée dans cette position. Il a saisi ma jambe droite et l'a posée repliée sur le bureau. Mon pied gauche ne touchait presque plus le sol.
Je n'ai compris dans quoi je m'embarquais que lorsque l'épais gland bombé de cet outil de démolition a commencé à se frotter de haut en bas sur ma chatte en feu... J'étais mouillée par ses caresses.
Dans le lit, avec mon mari, j'étais passive, soumise, car j'aimais être câlinée, dorlotée. Mais là, c'était quelque chose de complètement différent. Appuyée sur le bureau, avec sa main sur mes reins, il a aligné sa lance africaine en face de ma vulve, avant de m'empaler avec.
C'est à ce moment-là que j'ai commencé à geindre... Mon Dieu, que ça faisait mal... Il me distendait en poussant ses hanches lentement vers l'avant. Rien de commun avec Éric, mon mari. Même si mon mari n'était pas mon premier partenaire, Bahçeþehir Escort Bayan celui qui m'a déflorée, je n'ai jamais rien connu de comparable au membre d'ébène trapu qu'Antoine poussait en moi!
Progressant lentement, mais fermement, sans à-coups, le mâle alpha prenait possession de son adversaire vaincue. Ce n'était pas ma période la plus fertile, mais le risque de prendre un homme à cru m'effrayait. Pourtant, plus j'étais effrayée, plus j'étais trempée.
Son sexe embrassait les parois de mon ventre fertile. Je priais pour qu'il termine vite, mais ce n'était pas son intention. Glissant sa main sous moi, il commença à triturer mon clitoris si sensible. Incapable de retenir mes gémissements et mes cris obscènes. Envahie, remplie, dilatée, le plaisir prenait progressivement la place de la douleur.
Gémissante, pantelante, j'ai regardé dans l'objectif de l'appareil. A ma grande honte, mes hanches ont commencé à s'adapter à son rythme, à se balancer en cadence, accompagnant ses mouvements. J'espérais finir plus rapidement cette étreinte. En vérité? Je voulais le séduire ... J'avais besoin de lui plaire.
Ma petite chatte blanche se contracta... Mon esprit s'est vidé lorsque mon premier orgasme m'a traversée. Secouée.
Des spasmes, presque des convulsions. Jamais auparavant je n'avais éprouvé quelque chose de semblable...
Jamais Antoine n'a lâché mon clitoris, continuant à le harceler pendant que j'agonisais sous lui. Jamais il n'a ralenti sa cadence, considérant probablement que ce bouleversement n'était qu'un incident mineur.
«Ouais... C'est ça, bébé, garde ton souffle, la nuit n'est pas finie! Dorénavant, j'utiliserais cette petite chatte tous les matins et tous les soirs. Ta chatte m'appartient maintenant, bébé, tu m'appartiens!»
Ses propres sons du plaisir ... Gémissements ... Grognements ... Ils excitaient mes sens, me rendant encore plus dominée et séduite.
Docile, j'ai répondu : "Oui, Monsieur!"
J'ai atteint encore deux fois le paradis avant qu'il ne soit prêt à s'épancher. Je le sentais devenir si dur, si gonflé en moi, prêt à se soulager :
«Han ... Je vais jouir, bébé ... Où veux-tu?»
Ma bouche s'est ouverte pour le supplier de se retirer, mais j'ai crié :
«À l'intérieur de moi, monsieur!» En pleurant de bonheur.
Les muscles bandés de ce merveilleux corps d'ébène se crispèrent alors qu'il se cambrait contre moi. Écrasée contre le bureau, je sentais les flots de semence de ce dieu africain inonder mon ventre fertile sans protection. La surcharge sensorielle, un voile blanc devant mes yeux, mon orgasme une nouvelle fois. Son sperme débordait ...
J'étais abasourdie et émerveillée ... Est-ce que je pensais avoir été violée? Tromper mon mari? Porter plainte? Non...
Je ne pensais qu'à une chose, je vais avoir un bébé noir à l'intérieur de mon ventre!
Reprenant mes esprits, j'ai tourné la tête juste à temps pour le voir ranger sa grosse bite noire dans son pantalon. Impossible que ce pieu est pu tenir en moi. Sa semence abondante s'échappait de moi. Vacillante, j'ai réussi à me diriger vers les toilettes. Impossible de tout évacuer, j'ai bourré du papier toilette dans ma culotte.
Antoine avait quitté le bureau. Deux jours avant lundi matin. Deux jours pour prendre ma décision. Il fallait que je sache d'ici là. Rester l'épouse d'Éric, ou devenir la pute d'Antoine.
Heureusement, Éric était dans le brouillard quand je l'ai réveillé. Je l'ai ramené à la maison et je l'ai couché. Puis j'ai pris un bain brûlant. Éliminer si possible. Pas besoin de conserver la preuve. Pas besoin d'être enceinte. Du moins, tant que je n'aurais pas pris ma décision.
Le lendemain, Éric avait un concert. Je l'ai accompagné, plus sexy que jamais, je me sentais femme. Parfois anxieuse, presque déprimée. Parfois rieuse, heureuse. Distante, amoureuse. Impossible de penser, Antoine était dans ma tête, occupant mes pensées, j'entendais ses paroles :
«C'est pour ça que tu es faite, bébé, pour être baisée par un sexe noir.» C'était tellement ... brutal, primitif, sensuel.
J'ai passé ma soirée à regarder mes photos de mariage. Porter plainte, c'était s'exposer. Sa parole contre la mienne, mon mari au courant de mes turpitudes, perdre ma place et mon confortable salaire, je devais trouver un moyen de me débarrasser d'Antoine, d'échapper à ses griffes, discrètement.
Lundi matin, première heure, j'irai dans le bureau de la Directrice des Ressources Humaines. Pour qu'elle me mette à l'abri. J'avais besoin de mon salaire. En attendant, je pouvais réactualiser mon CV.
Lundi matin, j'ai ignoré les messages d'Antoine me demandant de venir auprès de lui rapidement. Il m'attendait à l'aube maintenant. Je suis arrivée à 9 heures du matin, et je me suis faufilée jusqu'au bureau des Ressources Humaines pour voir immédiatement la directrice.
Lara était une superbe femme noire, dans la trentaine, avec une tête de plus que moi, Bahçeþehir Escort et un corps voluptueux. Elle m'a accueilli avec un grand sourire. Les yeux baissés, je lui ai demandé un entretien immédiat pour une affaire qui me tenait à c?ur. Elle a acquiescé en me désignant une chaise. Elle s'est approchée et a posé sa main sur le dossier de la chaise. Je pensais qu'elle se penchait pour me parler doucement, pour me réconforter ...
Là, j'ai commencé à expliquer que, vendredi soir, Antoine m'avait attirée à l'écart et, profitant de mon ivresse, il m'avait violée. J'ai commencé à sangloter. Lara a hoché la tête avec un visage compréhensif et m'a tendu une boîte de mouchoirs. Essuyant mes larmes, j'ai expliqué que je ne voulais pas appeler la police, pas faire de scandale, mais que je ne voulais plus travailler avec lui.
C'est alors qu'elle s'est redressée et m'a balancé un revers de main si fort que j'ai vu danser les étoiles!
Elle a attrapée une poignée de mes longs cheveux blonds, sur ma nuque. J'ai une hantise, depuis ma plus tendre enfance, avec mes cheveux, je suis comme les chats. Si on me tire les cheveux, sur la nuque, je ne peux plus rien faire.
À l'école, les autres filles se passaient le mot, et elles en profitaient abondamment. Elle a tiré sur mes longs cheveux blonds, pliant mon cou en arrière, et elle m'a craché sur le visage :
«Tu penses avoir le choix, ici, petite pute? J'ai juste ce qu'il faut pour dresser les salopes comme toi!» siffla la femme.
Elle était plus grande et plus forte que moi, et tellement plus forte. Comme si elle voulait me faire revivre ce que j'avais déjà vécu, sa main féminine crispée dans mes cheveux, sur ma nuque, m'épinglait sur le bureau. Je me figeais, incapable de me défendre, acceptant ce qu'elle me faisait. La bave de son crachat coulait sur mon visage.
Pour me dresser, elle a sorti un plug anal de son tiroir. Elle a craché dessus, et l'a enfoncé sans ménagement dans mon cul vierge. Des larmes ruisselaient de mes yeux alors que je la suppliais de me libérer.
Et ce n'était pas fini! Je ne suis pas du tout intéressée par les femmes, mais elle m'a complètement soumise à ses caprices. Après m'avoir longtemps tripotée, et retournée dans tous les sens, elle m'a obligée à m'agenouiller pour lui lécher la chatte. Elle avait la chatte rasée, elle suintait, ça me dégoûtait et je gardais ma bouche obstinément fermée, refusant de lui donner du plaisir.
Soutenant fixement son regard de dominante, je n'ai pas cédé. Pliant mon cou en arrière, elle a frotté sa chatte sur mon visage, ondulant des hanches, jusqu'à ce que je cède, ouvrant la bouche et sortant la langue. Je l'ai léchée jusqu'à ce qu'elle jouisse, m'inondant de ses jus.
Une fois apaisée, elle m'a donné la boîte de mouchoirs pour que j'essuie mon visage. Mon maquillage avait coulé, ses jus et sa bave souillaient ma bouche et coulaient sous mon menton. Honteuse, j'ai troussé ma jupe pour essuyer ma chatte. Pourquoi une telle humiliation et une telle cruauté me mettaient dans des états pareils? J'étais trempée d'exaltation ...
Pendant que j'essayais de retrouver ma dignité, elle décrochait son téléphone de bureau. Je n'étais pas attentive à ses gestes jusqu'à ce que je l'entende parler :
«Antoine, j'ai ta petite pute blanche ici, elle prétend que tu l'as violée ... Ouais, je lui ai donné une bonne leçon ... D'accord, je te l'envoie!»
Mon c?ur battait la chamade. Terrorisée par le courroux d'Antoine. Avec le plug dans mon cul, j'ai dû remonter tout le couloir jusqu'au bureau d'Antoine. Les yeux baissés,je marchais comme si j'avais fait dans ma culotte.
Ce court voyage me parut une éternité. Les employés souriaient sur mon passage. Certains hommes me lançaient des insultes. Je ne comprenais pas comment ils savaient, mais ils savaient ce qui s'était passé ... J'avais envie de fuir, de m'échapper de cet asile de fous, quitte à perdre ma place et mon salaire. Pourtant, je suis allée toquer à la porte de mon tortionnaire.
À l'invite, je suis entrée, jambes tremblantes, et je me suis approchée de lui, les yeux baissés. Je savais qu'il était furieux. Je savais qu'il allait me punir. Je ne pouvais pas le regarder dans les yeux. Je tremblais de peur qu'il s'aperçoive de mon excitation, de mon désir. Je voulais être corrigée ... Salement corrigée!
«Tu es en retard. Tu m'as fait attendre. Tu préfères perdre ton temps à discuter de mes affaires personnelles. À genoux, ici!»
L'ordre a claqué, et je ne me suis pas fait prier. Rapidement, j'ai contourné le bureau et je me suis agenouillées entre ses jambes écartées, les yeux toujours baissés :
«Pardonnez-moi, Monsieur ...»
«Ta gueule! Tu désobéis à mes ordres. Tu arrives en retard. Tu colportes des ragots sur moi. Tu n'en fais qu'à ta tête. Et tu voudrais que je te pardonne? Écoute-moi bien, petite pute. Tu n'es qu'une petite salope blanche que j'ai ramassé dans le ruisseau. Tu ne vaux rien. J'ai eu la bonté de m'occuper de toi, et c'est comme ça que tu me remercie. Ici, tu m'appartiens, tu es à moi, et tu dois faire tout ce que je te demande, sans rechigner, sans prendre le temps de me faire attendre. Je veux t'utiliser quand j'en ai envie ...»
Le voix du puissant mâle noir grondait au-dessus de moi. Agenouillée, les yeux baissés, j'ai répondu :
04-02-2023, at 12:03 AM
Alýntý
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