Raphaël

RaphaëlNous étions en été et je traversais le pays seul dans ma voiture. Après trois heures de route je commençais à trouver le temps long et il me restait encore 5 heures de trajet pour arriver dans l?ouest tard dans la soirée. Je fis une pause dans une aire ombragée puis je repris le volant un peu délassé. A la sortie du parking un jeune auto-stoppeur me fit signe. Ravi de cette aubaine pour passer le temps de lui proposais de monter et ça tombait bien il allait lui aussi dans cette ville côtière éloignée. Nous eûmes donc du temps pour faire connaissance.Raphaël avait 19 ans, il n?était pas grand, mince, imberbe et avait l?air d?un ado en vacances. Son visage était beau et doux avec des yeux clairs et des cheveux presque blonds. Il voyageait en stop avec juste un sac à dos pour aller rejoindre des copains qui campaient près d?une plage.Nous avons parlé longuement de ses études, de ses goûts, de sa famille, de religion. Il n?avait pas de compagne et pour tout dire je n?arrivais pas bien à cerner ses goûts sexuels ni même son degré d?expérience à ce sujet. Il voyageait vêtu d?un short en jean très court et d?un teeshirt fin. A travers celui-ci je pouvais distinguer ses tétons qui marquaient le tissu.Nous en étions venu à parler de ma propre expérience et il sembla très intéressé quand je lui dis qu?à 38 ans j?étais devenu bisexuel et que j?avais eu quelques expériences avec de jeunes hommes après avoir été longtemps en couple avec des compagnes de physique presque toujours androgyne. J?aimais les femmes jeunes, minces à petits seins et cheveux courts. J?aimais les hommes jeunes, minces, blonds et un peu efféminés. Pendant cette conversation je remarquai que son short s?était gonflé à l?entrejambes de façon bien significative. Notre conversation et ma présence lui faisait de l?effet. Lors de la pause pour diner, je l?invitais et je pus voir dans ces yeux qu?il était troublé voire séduit. Mais il ne prenait aucune initiative un peu comme s?il était fasciné par l?expérience qu?il vivait.Nous arrivâmes à destination fort tard. La nuit était tombée. J?avais réservé une chambre d?hôtel dans la vielle ville. Je lui proposais de le déposer à un endroit qui l?arrange. Il m?avoua alors qu?il n?avait pas de point de chute prévu et que ses moyens ne lui permettaient pas de louer une chambre. Tout naturellement je lui ai proposé de partager ma chambre pour une nuit. Il sembla ravi et me le manifesta par un beau sourire enjôleur.La chambre n?avait qu?un grand lit. J?étais fatigué. Je prise une douche et me mis au lit avec juste un slip la clim n?ayant pas encore tempéré l?ambiance. Raphaël se doucha aussi et me rejoignis au lit lui était nu.Nous étions dans le noir et Raphaël posa sa main sur ma cuisse en me disant « j?ai envie d?un câlin ». Je posais alors une main sur son ventre et remontais vers ses tétons que je stimulais par des caresses douces alternées avec des pincements qui l?ont fait gémir. Nous avons échangé de long baisers d?abord doux puis à pleine bouche en jouant avec nos langues. Je retirais mon slip et mis un peu de lumière pour voir son corps qui me plut beaucoup. Il avait une toison blonde, un sexe petit mais beau et un début d?érection. Moi je bandais ferme et il prit mon sexe dans sa main pour le décalotter puis dans sa bouche puis sucer mon gland avec ses lèvres mouillées. Nous nous mîmes en 69 et nous passâmes un grand moment à nous sucer. Je lui caressai les testicules puis le tour de l?anus ce qui le fît gémir de plaisir. Quand j?ai commencé à le pénétrer avec un doigt il m?avoua qu?il n?avait jamais fait ça mais qu?il en avait très envie.Je le fis mettre à plat ventre, cuisses écartées et je lui enduis l?anus de salive pour le préparer en douceur et le pénétrait très doucement et progressivement avec un puis deux puis enfin trois doigts. Il ondulait du bassin et creusait les reins pour s?ouvrir et profiter d?une plus profonde pénétration. Son sexe était dur et il le frottait sur le drap. Je profitais du spectacle quand il me dit « vient ».Je me mis sur lui et présentais fermement mon sexe très dur contre son anus, en restant immobile. C?est lui par ses mouvements du bassin qui se pénétra progressivement en gémissant de douleur et de plaisir. Lorsque je fus bien au fond avec mon pubis contre ses fesses il me dit «encore ». Nous avons joui ensemble peu après. Il est alors venu se blottir dans mes bras pour s?endormir. Le lendemain nous nous sommes séparés tard dans la matinée après un copieux petit déjeuner. Je ne l?ai jamais revu et c?est de mes meilleurs souvenirs de sexe.